De la sauvagerie aveugle des terroristes au racisme des corps sécuritaires et à la fin la haine du corps judiciaire soumis totalement aux ordres ...
La cour de Ghardaïa était encore une fois le lundi 28 avril 2014 le théâtre d'une autre scène de la souffrance des mozabites avec le pouvoir Algérien raciste, en ce même jour dix jeunes mozabites comparaîtront devant le tribunal accusés par des chefs d'accusations fomentées et dénuées de toutes vérités, l'attroupement armé.
En continuant à transgressant même les lois élémentaires les autorités judiciaires de Ghardaïa a empêchés le publique, les militants et même certains parents des détenus d'assister au procès de leurs enfants, le procès s'est déroulé à huis-clos ...
A rappeler que ces jeunes inculpés ont été condamnés par de lourdes peines par le tribunal de Ghardaïa.
A rappeler que ces jeunes mozabites accusés et des dizaines d'autres arrêtés, alors qu'ils essayaient de défendre leurs quartiers ou étaient en train d'aider les familles et les commerçants mozabites situer dans les quartiers à risque à vider les demeures de leurs contenus et les magasins de marchandises avant que les bandes terroristes ne les pillent puis les brulent.
Au lieu de poursuivre et de punir les policiers et gendarmes que tout le monde a vu prêter main fort aux bandes de terroristes et de punir du même les responsables à différents niveau et postes pour les crimes et massacres commis contre les Mozabites, Les autorités algériennes n'ont trouvé de moyen pour compléter leur plan machiavélique et criminel qui consiste à forcer les population Mozabites à quitter leurs terres ancestrales riches en pétrole et en gaz, que l'utilisation de l'appareil judiciaire aux ordres pour casser l'unique bouclier défensif des Mozabites qui est composé de jeunes Mozabites qui repoussent courageusement en défiant la mort et l'invalidité, les attaques des terroristes armés soutenu par les services sécuritaire, en jetant le plus grand nombre d'entre eux en prison par des accusations monté de toute pièce et du coups effrayer et paralysé le reste des jeunes par la connaissance du sort des détenus Mozabites condamnés à des peines sévères pour qu'ils laissent le champs libre pour l'exécution des plans du régime Algérien.Ces pratiques ont réveillé dans la mémoire des jeunes Mozabites, les anciennes tentatives d'intimidation de cette même jeunesse du sort du jeune militant Mohammed Baba Nadjar incarcéré depuis 9 ans, condamné à la peine capitale puis à vie injustement, pour une accusation monté de toutes pièces, dans le but de dissuader les jeunes Mozabites de réclamer leurs droits et leurs libertés et toute revendications légitimes surtout la conservation de l'identité Amazigh des Mozabites.
Dr Kameleddine Fekhar