Chaque édition du festival national du film amazigh, s’évolue tants au niveau d’organisation qu’au niveau de la programmation, et d’activités. La dernière édition tenu entre 20 et 25 Octobre 2009, a connu une effervescence et un dynamisme des acteurs de secteur de l’audio-visuel d’expression amazigh durant la durée du festival, ce dynamisme dû à l’organisation en parallèle du festival de la première rencontre entre les producteurs et les réalisateurs des films d’expression amazigh, cette rencontre à connu une participation massive et considérable de ces acteurs, ainsi que les critiques de cinéma.
Depuis la première édition organisée à Casablanca entre 13 et 15 juillet 2000, l’association marocaine de recherche et d’échange culturel, vise à faire connaître, apprécier, et partager une cinéma émergente avec un public cinéphile qui dans la plupart des temps connaît peux sur cette cinéma, qui reflète un visage de la diversité culturel de notre patrie, cette finalité à été dû grâce à la persévérance d’une très jeune comité d’organisation, et une volonté solide d’une association d’expérience associative considérable de 42 ans, couronné par l’obtention du statut d’utilité publique en 2008.
Durant les cinq jours du festival, le public à pu voire des films de tout horizon, des variant amazigh du Nador, de Bani Mellan, et de Souss, a travers des court métrage des jeunes cinéaste comme le jeune Ahmed Baidou intitulé « Tamktit » et l’autre de Fdil Abdellatif, qui porte le titre « Ayis Inu », sans oublié le talentueux Mohammad Amin Elamraoui, venant de la Belgique avec son court « Sllam et d’IMITANE » remporté déjà plusieurs prix dans d’autres festivals.
Le long métrage à son tour nous à passion par des images splendides des paysages du Souss et de l’inti-atlas, avec des histoires divers des hommes et des femmes inspirés de la culture et légende amazigh, on pu voir des avant premier comme celui de jeune cinéaste Mahjoub Ibourka alia Yuba, intitulé « Ibiqs », et celui de Said Bahous, intitulé « Belaadim », les autres film son dans la compétition officiel ; « tirrukza itmghart » de Abdellaziz Oussayh , « Anaruz » de Abdellah Abdaoui, « Tabrat » de Ali Ait Bouzid. A la marge de la compétition le festival à projeté le long métrage cinématographique de réalisateur autodidacte Mohammed Marnich intitulé « Tamazirt Oufella » produit cette année et coproduit par le centre cinématographique marocaine.
Le jury de cette édition été diversifié, présidé par le critique Nourddin Kechti, et comptait également les membres Mohammed Salout alia Agrram ; producteur et réalisateur, Mohammed Mellal, artiste plasticien fils de la région, Mohammed Hafidi, professeur dans l’institut spécialisé des métier du cinéma à Ouarzazate (ISMC), alors que deux autres membre nous pouvais pas se présenter à cause des conditions majeurs, il s’agit du réalisateur Jamal Belmajdoub, et le professeur universitaire Mohammed Benyahia.
Les discussions son présent à cette édition, dans des séances journalier chaque matin à 9h30 dans la salle des réunions du palais des congrès en présence des réalisateurs et des comédiens pour discuter les choix artistiques, et les tendances de réalisation dans les films participé, cette initiative à permet au étudiant des établissements cinématographique locale de perfectionner les outils et les techniques d’analyse des films. Dans le même optique de débat profond sur le réal du cinéma marocaine d’expression amazigh, le festival à pu rassembler les critiques de cette cinéma pour en discuté autant que possible les dimensions de la spécificité et de la continuité du cinéma amazigh, un certains sujet va nourrir le débat avec des idées et conceptions pouvant pousser le film amazigh en avant.
Comme prévue, le festival à honorer deux comédiens du cinéma amazigh, le premier c’est l’artiste Abderrahman Bourhim, connu dans des rôles comme le « FKIH » ou « le juge » surtout au début de sa carrier dans les premières films de Warda vision ou de Saout MZOUDA, il a à con actif plus de 60 films, sans compté les scénarios qui dépasse 100 don il à écrit pour ou prépare en faveur des réalisateurs du film amazigh, je cite comme exemple AHMED BADOUJ, MOHAMMED MARNICH, FATIMA BOUBEGDI, BRAHIM HANOUDI, et d’autres… l’autre figure honorer c’été l’actrice FATIMA JOUTTAN, la star du cinéma amazigh, et l’un des comédiens les plus vu dans des films amazighs, c’est ce que le public de cette manifestation à avouer en applaudissant fort lors de son apparition sur la scène.
Le moment fort de cette édition été la soirée de remise des prix, qui à connu une salle archicomble, et la présence des personnalités de la région ainsi que les comédiens et le jury, c’est un moment que tout le monde attende avec patience, pour voir les résultats des deux compétitions officiels : le cour-métrage et le long-métrage. Après avoir projeté un court sur les moments fort du festival, le juré a attribué les distinctions comme ci-après :
- Le grand prix « Targant Ourgh » pour le meilleur long métrage pour le film « Anaruz » de ABDELLAH ABDAOUI.
- Le prix de meilleur rôle féminin est revenu à ZAHIA ZAHIRI dans son rôle dans le film « Tabrat » d’ALI AIT BOUZID.
- Le prix de meilleur rôle masculin est revenu à ABDELLATIF ATIF dans son rôle dans le film « TIRRUKZA ITMGHART » d’ABDELAZIZ OUSSAYH.
De sa part le court-métrage à reçu lui aussi des prix, et il à été chaleureusement salué par le juré, vue la qualité artistique, et le niveau technique de la plupart de ces films, les distinctions sont :
- Le grand prix de meilleur film est revenu à « SLLAM ET DIMITAN » de réalisateur Maroco-belge MOHAMMED AMIN AAMRAOUI.
- Le prix de meilleure réalisation est revenu ex aequo à AHMED BAIDOU pour son film « TAMKTIT » et ABDELLATIF FADIL pour son film « Ayis INU ».
Le jury a également salué la prestation du jeune Alaeddine BECHIRI, pour son rôle dans « SALAM DAMETAN ».
La cérémonie de clôture a été agrémentée par des spectacles musicaux des artistes de la région.